Non.
Tout licenciement motivé par l’action en justice pour faire respecter les principes et droits fondamentaux au travail est nul et de nul effet.
La réintégration du salarié licencié au mépris de cette interdiction est de droit.
En cas de refus de réintégration l’employeur est tenu au paiement de dommages et intérêts dans les conditions prévues par les présentes dispositions.
Article 6 de la loi n° 2015-532 du 20 juillet 2015 portant Code du Travail