Non.
Si le condamné est marié, la confiscation ne porte que sur :
a) ses biens propres ;
b) et sur la part du condamné dans le partage de la communauté ;
c) ou des biens indivis entre le conjoint et le condamné.
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Article 61 de la loi n° 2019-574 du 26 juin 2019 portant Code pénal