SUJETS D’ORDRE GENERAL

ENONCES

 

1

 

« La presse est le reflet de la société dans laquelle elle paraît : sa qualité dépend des exigences de son public ».

Commentez et appréciez jette réflexion en vous appuyant sur votre connaissance des quotidiens que vous lisez.

 

 

 

2

 

« Un peuple n’est pas une réalité biologique, c’est une réalité culturelle. Il n’existe pas par le sang, il existe par la mémoire et par la volonté ».

Appréciez !

 

 

3

 

« Le problème de l’Afrique vient du fait que ses élites formées à l’étranger ont pensé que le progrès ne pouvait être atteint que par la reproduction, une copie de ce qui a réussi ailleurs. Dans ces conditions, le développement a été proposé à l’Afrique sous fouie de prêt à porter ». Stanislas S.

Que pensez-vous de cette opinion ?

 

 

4

« Chaque Nation, pour passer à une étape supérieure d’évolution, a le devoir de faire sa mue : la renaissance est pour nos pays, le passage obligé pour entrer dans le 21  siècle. Faute de quoi, ils végéteront sans appel ».

Commentez ces propos d’un penseur africain.

 

5

« Tout peuple qui veut être libre, l’est en effet ».

Qu’en pensez-vous ?

 

6

« Toutes les sociétés humaines reposent sur le principe du respect : le respect de l’autre, de ses opinions, de la chose publique, le respect des institutions, des valeurs de la société ».

Que pensez-vous de cette réflexion de son excellence Henri Konan Bédié

 

 

7

« L’homme africain doit passer du simple désir du bien-être matériel et de la recherche continuelle des solutions de facilité à une vie de responsabilité ».

Qu’en pensez-vous ?

 

 

8

« Le monde de demain repose sur l’efficacité de nos formations, leur adéquation à notre société, à ses besoins d’entreprendre et de créer ».

 

9

« Si l’on ne pèche pas du tout contre In raison, on n’arrive généralement rien ».

Discutez cette pensée d’Albert Einstein.

 

10

« Il faut accepter le jeu de la concurrence pour éviter la violence ».

Appréciez cette assertion.

 

11

« Là où une zone d’ombre échappe au regard du peuple, il n’y a pas République ».

Appréciez ce point de vue de François MITTERAND.

 

 

12

« Constatant l’évolution des comportements éducatifs, un sociologue écrit : «Le règne de l’enfant-roi, de l’être qui ne doit souffrir d’aucune interdiction, fait place, semble-t-il, à une plus jeune appréciation des vrais intérêts de l’enfant. On sait de plus en plus que le bonheur n’est pas préparé par le laxisme, (…) comprendre les jeunes, c’est les aider à comprendre que la vie est elle-même une école et qu’il faut être d’abord élève ».

Vous expliquerez et illustrerez ce point de vue.

 

13

« Il est clair aujourd’hui que le progrès de la civilisation technicienne ne nous a guère avancés dans la quête éternelle du bonheur.

Les hommes de ce temps ont le sentiment d’être floués. Peut-être faut-il chercher dans cette déception l’origine des conduites marginales chez les jeunes et de l’abandon ostensible de l’avoir. Dans la gamme qui s’étend de la satisfaction à la félicité voire à la béatitude, le bonheur qui se voudrait étendu dans la durée reste mirage à l’horizon humain. »

Discutez les propos de cet auteur en épigraphe d’un essai.

 

 

14

« L’école est le reflet de la société, mais elle porte en germe des facteurs de changement qui font évoluer cette société ».

Qu’en pensez-vous ?

 

 

15

 

Un Ecrivain célèbre s’est écrié :

« Jamais l’humanité n’a réuni tant de puissance et tant de désarroi, tant de connaissance et tant d’incertitudes. L’inquiétude et la futilité se partagent nos jours. »

Qu’en pensez-vous ?

 

16

 

L’esprit humain pourra-t-il toujours dominer ce que l’esprit humain a fait ?

 

 

17

 

Un sociologue contemporain constate :

« Le changement du monde n’est pas seulement création, progrès : il est d’abord et toujours décomposition, crise. La société qui se produit elle-même est à la fois dieu et diable. »

Appréciez.

 

18

Ruiner l’autorité des magistrats, c’est affaiblir l’Etat »

Qu’en pensez-vous ?

 

 

19

(ENA – SECTION SUPERIEUR: 2010)

Le chômage  et la précarisation  de l’emploi concourent, à la fragilisation du statut d’adulte. La jeunesse ne renvoie plus alors à l’âge, mais à la condition de dépendance et l’absence d’autonomie vis-à-vis de la famille, de la communauté ou de l’État.

Que pensez-vous de cette affirmation ?